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Trouble obsessionnel-compulsif (TOC)

Dernière mise à jour: 6 novembre 2025

Bienvenue sur notre fiche sur le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) pendant la grossesse et l'allaitement. Les informations sont basées sur les recherches actuelles et peuvent changer avec de nouvelles découvertes scientifiques. Ce contenu ne remplace pas les conseils personnalisés de votre équipe soignante.

1. Qu'est-ce que le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) ?

Pendant la grossesse, c’est normal de ressentir plein d’émotions et d’avoir beaucoup de choses en tête. Que ce soit votre première ou votre cinquième grossesse, accueillir un bébé apporte beaucoup de changements et d’adaptations. Mais parfois, les pensées et les inquiétudes peuvent prendre trop de place. 

Si vous avez des pensées qui reviennent sans arrêt et que vous ne voulez pas (on les appelle des obsessions), ou si vous sentez que vous devez faire des gestes encore et encore pour réduire votre anxiété (comme vous laver les mains ou vérifier des choses), cela peut être un signe de TOC.  

Le TOC est un trouble de santé mentale qui peut débuter ou s’aggraver pendant la grossesse. Parfois, il est difficile de faire la différence entre des inquiétudes normales liées à la grossesse et les symptômes du TOC, car les deux tournent souvent autour du bébé. Mais dans le cas du TOC, les peurs sont beaucoup plus fortes et peuvent nuire à votre vie quotidienne. 

Si ces pensées ou gestes vous empêchent de bien dormir, de manger, de travailler ou de profiter de la vie, ou si vous commencez à éviter certaines personnes ou situations, ou que vous vous sentez anxieuse ou bouleversée tout le temps, il est important d’en parler avec votre équipe soignante. Le TOC peut prendre beaucoup de temps, vous faire sentir seule et causer beaucoup de détresse émotionnelle. 

Tableau 1. Signes qui peuvent aider à reconnaitre les symptômes de TOC pendant la grossesse.

Dans le corps Dans l'esprit Dans les actions

Peau rouge, irritée ou blessée à cause de lavages ou de grattages répétés

Pensées ou images qui reviennent et que vous ne voulez pas, par exemple :
– Peur des microbes ou des maladies (pour vous ou votre bébé)
– Peur de blesser votre bébé accidentellement (même si vous ne le voulez pas)
– Besoin que tout soit parfaitement rangé ou symétrique 

Compulsions (comportements répétés pour réduire l’anxiété) comme : 
– Se laver ou nettoyer de façon excessive (vous même, la maison, le bébé)
– Vérifier encore et encore (portes, cuisinière, bébé)
– Compter ou répéter des actions jusqu’à ce que cela semble « juste »
– Ordonner ou arranger des objets de façon symétrique (vêtements du bébé, rangement du lait, etc.)
– Faire des rituels mentaux comme répéter des phrases ou des prières

 

Difficultés à dormir à cause des pensées obsessionnelles ou du besoin de finir des rituels (gestes répétés)

Confusion ou sensation de « brouillard mental »

Besoin de garder un grand contrôle de toutes les routines quotidiennes

Fatigue, épuisement ou manque d’énergie

Colère ou irritabilité (plus que d’habitude)

Demander souvent aux autres si tout est correct pour être rassurer

Symptômes physiques d’anxiété (tension, douleurs, maux de tête, problèmes digestifs, palpitations, essoufflement, etc.) 

Peur de perdre le contrôle ou sentiment de panique

Éviter des personnes, des lieux ou des situations plus souvent que d’habitude 

Chaque personne vit le TOC à sa façon. Mais si vos pensées ou comportements perturbent votre quotidien ou inquiètent vos proches, il est peut-être temps de chercher du soutien. Parler de santé mentale peut être difficile, même pendant la grossesse, mais vous n’êtes pas seule. Votre équipe soignante est là pour vous accompagner.  

2. Pourquoi est-il important de prendre en charge le TOC pendant la grossesse ?

Environ 1 personne sur 50 (2%) vit avec un TOC dans la population générale. Mais pendant la grossesse et après l’accouchement (la période périnatale), ce nombre peut doubler ou tripler. De nouvelles études montrent aussi que les pères peuvent être plus à risque pendant cette période. La grossesse, l’accouchement et le post-partum peuvent déclencher ou aggraver les symptômes du TOC. 

Les personnes qui vivent avec un TOC savent souvent que leurs pensées ne sont pas logiques ou réelles. C’est pour ça qu’elles sont très peu susceptibles de poser des gestes basés sur ces pensées. Comprendre cela peut aider à chercher du soutien et à se sentir mieux, ce qui facilite un lien plus calme et positif avec le bébé. 

Aller chercher de l’aide n’est pas toujours facile. La stigmatisation, le manque de services ou des barrières culturelles peuvent compliquer l’accès aux soins. Mais, il est important de demander de l’aide le plus tôt possible pendant la grossesse. Un soutien rapide peut aider à limiter les effets à long terme et à favoriser votre bien-être.  

Comprendre les risques pendant la grossesse 

La recherche aide à estimer les risques associés à certaines conditions pendant la grossesse. Des complications comme une fausse couche (perte du bébé), les malformations congénitales (problèmes présents à la naissance), les naissances prématurées (avant 37 semaines) et d’autres problèmes peuvent arriver dans n’importe quelle grossesse pour différentes raisons. C’est ce qu’on appelle le risque de base. La recherche aide à comprendre si ces risques augmentent quand le TOC n’est pas bien pris en charge pendant la grossesse. 

Il y a de plus en plus d’études sur ce sujet, mais la plupart sont de petites études qui considèrent un petit groupe de personne à la fois. Plus d’études sont nécessaires pour bien comprendre les impacts du TOC sur la grossesse.

Le tableau ci-dessous résume ce que les études ont montré jusqu’à présent. Ces risques sont dits relatifs, car d’autres facteurs comme l’âge, l’hérédité, les habitudes de vie ou d’autres problèmes de santé peuvent aussi jouer un rôle. 

Tableau 2. Risques possibles si le TOC n'est pas pris en charge pendant la période périnatale

Qui ? Quoi ? Que dit la recherche ?
La personne enceinte

Fertilité (capacité de devenir enceinte) 

Le stress et l’anxiété associés au TOC peuvent affecter les hormones et les menstruations, ce qui pourrait rendre la conception plus difficile

Fausse couche

Le TOC n’augmente pas directement le risque de fausse couche. Mais certains comportements comme l’utilisation excessive de produits ménagers ou l’exercice intense peuvent avoir un impact négatif.

Comportements à risque

Certaines personnes enceintes avec un TOC peuvent éviter les rendez-vous médicaux, mal dormir ou mal s’alimenter, ce qui peut avoir un impact négatif sur la grossesse et votre santé.

Lien avec le bébé 

Le TOC peut rendre plus difficile le lien affectif avec le bébé

Santé mentale post-partum

Avoir un TOC pendant la grossesse augmente le risque de dépression ou d’anxiété après l’accouchement

Le bébé à naitre

Malformations congénitales 

Le TOC ne devrait pas augmenter le risque de malformations.

Mais plus d’études sont nécessaires pour confirmer.

Naissance prématurée 

Certaines études ont trouvé une petite augmentation du risque d’accoucher avant 37 semaines.

Mais plus d’études sont nécessaires pour confirmer.

Faible poids de naissance 

Certaines études ont trouvé une petite augmentation du risque que le bébé pèse moins de 5 livres et 8 onces [2 500 grammes].

L’enfant plus tard

Développement du cerveau

Quelques études montrent un risque un peu plus de troubles émotionnels ou comportementaux plus tard.

Mais plus d’études sont nécessaires pour confirmer.

3. Que puis-je faire pour gérer mon TOC avant de prendre des médicaments?

Si vous planifiez une grossesse ou êtes déjà enceinte, c’est une bonne idée de préparer un plan pour votre santé mentale pendant la grossesse, comme vous le faites pour l’accouchement.

Parlez avec votre partenaire ou une personne de confiance : comment vous vous sentez, ce qu’il faut surveiller et quoi faire si les symptômes reviennent. Notez aussi à l’avance des gestes simples pour prendre soin de votre santé mentale lorsque vous n’allez pas bien. Reconnaître vos signes (pensées obsessionnelles, gestes répétitifs, changements d’humeur ou d’énergie) vous aide à savoir quand et comment demander de l’aide. 

 

Voici des choses simples, sans médicaments, qui peuvent aider à réduire le risque que les symptômes du TOC s’aggravent : 

  • Pleine conscience et relaxation : Pratiquer la pleine conscience, la respiration profonde ou la méditation peut aider à calmer l’anxiété et à mieux gérer les pensées obsessionnelles sans passer à l’action. 
  • Routine régulière : Avoir un horaire régulier (se lever, manger, se reposer et se coucher à la même heure chaque jour) aide à réduire le stress, à rester concentrée et à éviter les compulsions. 
  • Identifier vos déclencheurs : Repérez ce qui augmente votre anxiété ou déclenche vos comportements. Connaître vos déclencheurs vous permet d’y faire face petit à petit ou d’essayer des réactions différentes. 
  • Bouger régulièrement : L’activité physique aide à améliorer l’humeur et à réduire le stress, ce qui peut aussi diminuer l’intensité des symptômes du TOC. 
  • Chercher du soutien social : Parler à votre famille, des amis ou un groupe de soutien peut faire une grande différence. Vous n’avez pas à vivre cela seule. 
  • Bien dormir : Le sommeil est essentiel. Bien se reposer aide à mieux gérer le stress, les pensées intrusives et les symptômes du TOC. 
  • Psychothérapie : Même quelques séances avec une professionnelle ou un professionnel en santé mentale pendant la grossesse peuvent vous aider à mieux vivre vos émotions et à protéger votre bienêtre et celui de votre bébé. 

Si vos symptômes sont difficiles à gérer ou perturbent votre quotidien, la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), en particulier avec une approche appelée exposition avec prévention de la réponse (EPR) est souvent le traitement le plus recommandé. Elle apprend à mieux contrôler et modifier les pensées obsessionnelles et les comportements compulsifs. 

Pendant la grossesse, il est facile de s’oublier. Mais votre santé mentale est aussi importante que celle de votre bébé. Prendre soin de vous, c’est aussi prendre soin de votre enfant. 

4. Médicaments prescrits pour prendre en charge le TOC

Quand les symptômes du TOC sont sévères ou durent longtemps, un médicament peut être prescrit en plus d’une thérapie, comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC). C’est ce qui est recommandé pour traiter le TOC pendant la grossesse ou après l’accouchement. 

Que disent les recherches scientifiques ?

Au Canada, plusieurs médicaments peuvent être utilisés pour traiter le TOC pendant la grossesse ou pendant l’allaitement. Selon les études actuelles, la plupart ne sont pas associés à un risque plus élevé de malformations. Pour plus d’information sur un médicament précis, consultez sa fiche informative. 

Les médicaments les plus utilisés pour traiter le TOC sont les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS). Ce sont des antidépresseurs, qui peuvent aussi aider à diminuer les symptômes du TOC. Ils sont souvent choisis parce qu’ils ont été relativement bien étudiés pendant la grossesse.  

Ces médicaments agissent en aidant le cerveau à utiliser plus de sérotonine, une substance qui améliore la communication entre les cellules nerveuses et diminue les symptômes. Certaines personnes vont mieux rapidement, mais il faut souvent 4 à 6 semaines pour ressentir l’effet complet. 

Tableau 3. Certains médicaments antidépresseurs disponibles au Canada pour traiter les symptômes du TOC.

Types de médicaments Noms du médicaments Noms commerciaux

Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)

Citalopram, Escitalopram

ex. Celexa®, Cipralex®

Fluoxétine

ex. Prozac®

Fluvoxamine

ex. Luvox®

Paroxétine

ex. Paxil®

Sertraline

ex. Zoloft®

Comment savoir quel médicament prendre ? 

Chaque médicament a ses propres risques et bénéfices. Votre équipe soignante est la mieux placée pour vous aider à prendre une décision éclairée, adaptée à vos besoins. 

Il est important de ne jamais arrêter un médicament ou changez la dose sans en parler d’abord avec votre médecin, pharmacienne/ pharmacien ou infirmière/ infirmier. 

5. Est-ce que je pourrai allaiter ?

La majorité des personnes qui vivent avec un TOC peuvent allaiter si elles le souhaitent. En général, leurs symptômes n’ont pas d’impact sur le bébé. Quand on allaite, le corps libère une hormone appelée ocytocine, qui aide à se sentir plus calme et à créer un lien avec le bébé. 

Si vous prenez un médicament pour aider à gérer votre TOC, l’allaitement est aussi possible. Certains ISRS ont été plus étudiés pendant l’allaitement. Parmi eux, la sertraline (Zoloft®) est souvent recommandée si vous prévoyez allaiter. Ce médicament est bien documenté et a un profil de sécurité rassurant pendant la grossesse et l’allaitement. Cela dit, il ne convient pas à tout le monde. D’autres ISRS et la plupart des antidépresseurs peuvent aussi être utilisés pendant l’allaitement (avec suivi professionnel), car ils passent en très petites quantités dans le lait maternel. 

Si vos symptômes rendent l’allaitement trop difficile (ou que vous ne souhaitez pas allaiter), ce n’est pas grave. Vous n’êtes pas seule. Il existe des ressources pour vous accompagner. Si vous vous sentez incertaine ou dépassée, parlez-en à votre professionnelle ou professionnel de la santé ou à une consultante ou consultant en lactation. Ces personnes peuvent vous aider à trouver des solutions adaptées, que vous choisissiez d’allaiter ou non. 

Points-clés

  • Le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) est un problème de santé mentale qui peut commencer ou s’aggraver pendant la grossesse ou après l’accouchement.  
  • Si vous avez des pensées envahissantes et des comportements répétitifs qui ne disparaissent pas et nuisent à votre quotidien, cela peut être un signe de TOC. Demandez de l’aide si ces pensées changent votre humeur ou votre comportement. 
  • Un TOC qui n’est pas pris en charge peut rendre plus difficile de prendre soin de soi, de créer un lien avec le bébé et peut augmenter le risque de dépression ou d’anxiété après l’accouchement. 
  • Chercher du soutien rapidement peut vous aider diminuer l’intensité des symptômes du TOC et améliorer votre bien-être. Parmi les options sans médicaments, un plan de santé mentale, l’activité physique et la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) avec prévention de la réponse (ERP) peuvent être considéré.
  • Quand les symptômes sont plus sévères, des médicaments comme les ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) peuvent être prescrits, par exemple la sertraline, pendant la grossesse ou l’allaitement.
  • Parlez toujours à votre équipe soignante avant de commencer, modifier ou arrêter une médication. 

La recherche est utile... mais elle n'est pas parfaite

Pour prendre des décisions éclairées sur votre santé, il faut aussi comprendre ce que la recherche peut nous dire et ce qu’elle ne peut pas encore nous dire. Voici ce que notre groupe d’expertes et experts ont remarqué sur les limites des recherches actuelles sur le TOC pendant la grossesse : 

  • Peu d’études et petits groupes : Il existe peu de recherches qui portent seulement sur le TOC pendant la grossesse. Et les études disponibles regroupent souvent peu de personnes, ce qui rend les résultats difficiles à généraliser. 
  • Peu de suivi à long terme : On en sait encore peu sur les effets du TOC pendant la grossesse sur la santé de la personne enceinte ou du bébé à long terme. 
  • Des symptômes très variables : Le TOC ne se manifeste pas de la même façon pour tout le monde. Cela complique la comparaison des situations et la formulation de recommandations claires. 
  • La grossesse influence les symptômes : Les hormones, le stress et les troubles du sommeil pendant la grossesse peuvent aggraver les symptômes du TOC. Cela rend difficile de savoir ce qui est lié au TOC ou à la grossesse. 
  • Peu de recherche sur les traitements adaptés : On manque encore de données solides sur les traitements sécuritaires et efficaces du TOC pendant la grossesse. Les lignes directrices sont donc parfois floues. 

Ces limites montrent l’importance de continuer à faire de la recherche pour mieux comprendre et traiter le TOC pendant la grossesse, en toute sécurité. 

Références

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Bien que la consultation des symptômes ou autres informations médicales sur notre plateforme puisse orienter vos échanges avec votre professionnel de la santé, ces informations ne doivent en aucun cas être utilisées pour poser un diagnostic médical ou déterminer un traitement. Avant d’apporter des modifications à votre régime de compléments alimentaires ou de médicaments, veuillez discuter avec votre équipe médicale ou contacter le 811 (Canada) pour garantir la pertinence de ces changements pour votre situation individuelle.

Crédits
Catherine Lord
Immerscience Inc.
Brigitte Martin
Centre Hospitalier Universitaire Sainte-Justine
Vanina Tchuente
Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine
Modupe Tunde-Byass
Université de Toronto
Émy Roberge
Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine

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